La Licorne Vulgaire

Cette taverne est le passage presque obligé pour tout nouvel arrivant... Il s'agit d'une demeure à colombage sur deux étages. Son toit est en ardoise vernie. Une vigne sauvage courre le long des murs et semble souligner chaque ouvertures. Sur son flanc une dépendance spacieuse sert d'écurie et de grange pour y garer calèches, chariots et marchandises encombrantes.



Lorsque l'on entre dans la taverne on est immédiatement assailli par l'odeur de tabac, d'alcool et de plats populaires, parfois on entend des troubadours pousser la chansonnette et il n'est pas rare d'y voir des spectacles improvisés par les clients. Derrière le comptoir se tient Un-Pouce tenancier et figure locale de Sanctuary. La taverne est toujours bondée, voyaguers, marchands, citoyens de Sanctuary, s'y rende pour se détendre et discuter autour d'une table...

"Bienvenue, que puis je faire pour vous ?" Vous lance Un-Pouce

Thorgils vient de couvrir une longue route lorsqu'il passe les portes de Sanctuary. En apercevant l'enseigne caractéristique de l'auberge, un sourire s'épanouit sur son visage...

- "Aubergiste, ton auberge m'a l'air accueillante", dit-il après avoir passé le seuil.
- "Bonsoir Sir Leifson! La suite impériale vous a été réservée. Notre Maître Arkat nous avait prévenu de votre arrivée à Sanctuary".
- "Et bien, voilà qui confirme le don de double vue que l'on prête à ses mages. Et je remarque avec plaisir, que l'on n'oublie pas ses vieux compagnons de route à Sanctuary... que d'eau a coulé sous les ponts de Soléandre depuis ma dernière visite. Bien bien, mais je suis un peu las du voyage... j'aimerais que vous me réserviez une chambre à l'année. Je compte en effet intensifiez mes échanges commerciaux avec votre bonne ville."
- " Il sera fait selon vos désirs Messire. Connaissant votre réputation d'abondance, j'imagine que la suite impériale vous siéra?"
- "Excellent! Faites."
Un fumet de volaille rotie arrive aux narines de Thorgils, et lui font imaginer les promesses de ripailles à venir...
La journée du lendemain promet d'être chargée: visites de courtoisie aux vaillants seigneurs CROCS, recherche d'un local pouvant servir de futur comptoir pour les activités commerciales, etc.
Mais avant cela, un soirée bien arrosée se dessine.

Une elfe entre timidement dans l'auberge, elle porte un capuchon qui dissimule encore son visage.



Lullli découvre sa tête et ses cheveux dorés apparaissent à la lueur
des lampes à huile de la pièce. Avec discrétion, elle salue quelques
personnes qui ne la voient même pas, d'un signe, et s'installe à une
table au fond, n'osant prendre part aux discussions ni demander qu'on
la serve.



Seul un livre qu'elle sort d'une poche intérieure de son manteau lui
tient compagnie, et l'on voit sur ses traits qu'elle a éjà quitté
l'ambiance de l'auberge.

Arkantose revenait d'une quète que le dieu DULL lui avait imposé de faire. Ces traits étaient tirés, ces riches vêtements en lambeaux et seuls son grand baton de mage richement sculté de runes et son destrier le differenciaient des gueux.

La nuit avait recouvert depuis longtemps de son nombre le pays et le seigneur arracé du bientôt s'arretter. Il était très agacé de devoir s'arretter avant de rejoindre sa demeure et lanca les reines à la tête du palfrenier, il se retourna sans même donné une pièce au pauvre bougre.

Il entra dans l'auberge d'un pas coléreux, faisant taire le barde qui était en train de chanter. Tous se retournèrent vers lui, il fonca vers l'aubergiste, réserva une chambre et commenda un repas.

Il s'asseya a une table près de la cheminée plongea son regard dans le feu et ne bougea plus.

L'aubergiste arriva chargé d'une chope de bière et d'une assiète fumante de haricots au lard :
"Messir, votre repas"
"..."
Il tapa sur l'épaule de l'étranger, heureux de sentir l'oduer d'un repas simple et chaud:
"Merci mon bon, voilà pour votre peine"
Le seigneur geta a l'"aubergiste qui venait de poser les plas une bourse pleine de GVO-or et lui fit même un clin d'oeil.

L'aubergiste partit à petits pas rapides cachés sa grosse somme d'argent pendant que le barde se remettait à jouer et que l'auberge repris un rythme de vie normal, plein de rires et de chansons.

Un jour comme les autres. Comme les autres ? Non pas vraiment. Ce jour là, ils virent un grand 'truc' blanc descendre du ciel. Enfin, un truc, c'est comme ça qu'ils l'avaient appelé a ce moment la.

Cela avaient commencé avec un voyageur qui était entré avec précipitation dans la taverne, disant que, je cite, "le ciel leurs tombait sur la tête",
bien que les nombreux passant qui étaient dans la taverne trouvaient cette
expression un peu bizarre, quelque uns étaient quand même sorti pour voir ce qu'il en était. En effet, un grand 'truc' blanc descendait rapidement vers eux. Cela n'avait duré que quelque instant, mais sous l'impression tout le monde se souvenait de ce moment. Ce moment où un gigantesque dragon blanc avait mit pied a terre devant eux.








Ils avaient vus des tonnes de dragons dans leurs vie, mais celui ci ressemblait terriblement au dragon de LA légende.



La légende raconte que dans le Vieux Temps, des archimages aient créé un Dragon
Noir comme la nuit, et d'une méchanceté sans pareil. Les archimages auraient créé cette créature des ténèbre afin de conquérir le monde. Ils prirent territoire après territoire, les Empires tombèrent les uns après les autres. Rien que de prononcer les mots "Dragon Noir", fit frissonner les gens et trembler les terres. Mais la légende veut que le 10e jour un Dragon blanc nommé Emerith soit apparu. Qu'il ait semé bonheur la ou le malheur dominait, qu'il ait fait venir le jour la ou la nuit régnait, qu'il ait fait fuir le mal la ou il s'était posé. On dit aussi que seul une personne Elu par Emerith lui même pourrait le monter.
On dit...
Nombreux étaient les dessins du dragon, mais jamais personne ne l'avait vue.



Quand ils virent le dragon d'un blanc éclatant se tenir fièrement devant eux,
ils ne purent pensé autrement que ce dragon était LE dragon.



Ils sortirent de leurs rêverie quand un homme, jeune mais robuste descenda du dragon. Les gens s'écartèrent au fur et a mesure que le Seigneur avança. Il rentra dans la taverne, marmonna quelque chose au tavernier et alla s'asseoir dans un petit coin obscur.


Un jour comme les autres ? Non. C'était le jour ou ils avaient vue Emerith, le Dragon Blanc.